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Le Soutien scolaire par l'Ecole des devoirs et la remédiation, est une nouvelle démarche, un nouveau concept qui tient à accompagner les élèves tout au long de l'année scolaire afin de rassurer leurs réussites
Un accompagnement au sein de leurs écoles avec des professeurs formés, qualifiés et opérationnels soit de l'école même, soit des professeurs venants des autres milieux scolaires . |
Clément Mutombo, Congolais, Professeur à l’université de Vienne a publié aux éditions « pistes africaines » le livre « Histoire Germano-congolaise » avec comme sous-titre : « La genèse des états Congolais. »
Le hasard des lectures lui a fait découvrir que ce qui est connu sous le nom de « conférence de Berlin » de 1885, était en réalité dénommé « Conférence du Congo » en Allemagne. Pourquoi cette anomalie, pourquoi cette appelation différente en allemand par rapport à l’appellation en français?Le 22 avril 14 l’Ambassade d’Allemagne a organisé une présentation du livre sur «L’Histoire Germano-Congolaise » de M. Clément Mutombo. Après le remerciement de Dr. Wolfgang Manig, l’Ambassadeur de la République Fédérale d’Allemagne aux autorités politiques, académiques et d’autre invités pour leur participation, Prof. Mabiala Mantuba de l’Université de Kinshasa a présenter l’auteur du livre, Dr. Clément Mutombo. « Clément Mutombo est né à Kananga. Après ses études primaires à Kananga, il fut inscrit à l’Université de Kinshasa, à la Faculté des Sciences Économiques, d’où il sortira avec une licence en démographie. De 1979 à 1980, il effectua un stage de perfectionnement à l’Office Fédéral de la Statistique de Wiesbaden en Allemagne. En 1995, il obtint un diplôme de Master en sociologie et en 2000 un doctorat en sociologie à l’Université de Vienne en Autriche. De 2001 à 2006, il a été successivement chercheur à l’Université de Vienne puis à l’Université d’Innsbruck. Il vit à Vienne mais son cœur est resté attaché au Congo où il a commencé à enseigner la sociologie à l’Université Officielle de Mbuji-Mayi ». Dans ses recherches, Clément Mutombo s’intéresse à la sociologie religieuse, spécialement aux mouvements messianiques, et à la sociologie des relations biculturelles.
Le Livre « Histoire germano-congolaise. Une genèse des États congolais. » est publié à Chastre en Belgique, aux Éditions Pistes Africaines, en 2013. Le plan d’ensemble annonce cinq grandes parties. D’entrée de jeu, l’auteur décrit les prodromes de l’impérialisme afin de chercher à comprendre comment la volonté des puissances européennes de construire des empires coloniaux va affecter le Congo et l’Afrique pendant la période coloniale. La seconde partie est consacrée à l’influence portugaise en Afrique centrale du XVe au XIXe siècle. |
Abdou Diouf décoré du "Grand
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Justin Bomboko, l'un des pères de l'indépendance, est décédé
Le premier ministre des Affaires étrangères du Congo indépendant, en 1960, Justin-Marie Bomboko Lokumba, est décédé jeudi des suites d'une longue maladie aux Cliniques universitaires Saint-Luc de Bruxelles, à l'âge de 86 ans, a rapporté la radio onusienne Okapi. Il est considéré comme l'une des icônes de la politique du pays pour avoir participé, avec Patrice-Emery Lumumba, à la signature de l'acte consacrant l'indépendance du Congo belge, devenu Zaïre, puis République démocratique du Congo (RDC) depuis 1997. Né en 1928, Justin Bomboko avait été le premier Congolais diplômé de l'Université libre de Bruxelles (ULB).
A l'accession du pays à l'indépendance, il a été nommé commissaire général (l'équivalent de ministre) aux Affaires étrangères et au Commerce extérieur dans le gouvernement de Patrice Emery Lumumba - assassiné en janvier 1961 - puis président du Collège des commissaires généraux en 1960-1961, ministre des Affaires étrangères de 1960 à 1963, et de 1965 à 1969.
http://www.rtbf.be/info/monde/detail_rdc-deces-d-un-des-peres-de-l-independance-justin-bomboko?id=8245603
Le premier ministre des Affaires étrangères du Congo indépendant, en 1960, Justin-Marie Bomboko Lokumba, est décédé jeudi des suites d'une longue maladie aux Cliniques universitaires Saint-Luc de Bruxelles, à l'âge de 86 ans, a rapporté la radio onusienne Okapi. Il est considéré comme l'une des icônes de la politique du pays pour avoir participé, avec Patrice-Emery Lumumba, à la signature de l'acte consacrant l'indépendance du Congo belge, devenu Zaïre, puis République démocratique du Congo (RDC) depuis 1997. Né en 1928, Justin Bomboko avait été le premier Congolais diplômé de l'Université libre de Bruxelles (ULB).
A l'accession du pays à l'indépendance, il a été nommé commissaire général (l'équivalent de ministre) aux Affaires étrangères et au Commerce extérieur dans le gouvernement de Patrice Emery Lumumba - assassiné en janvier 1961 - puis président du Collège des commissaires généraux en 1960-1961, ministre des Affaires étrangères de 1960 à 1963, et de 1965 à 1969.
http://www.rtbf.be/info/monde/detail_rdc-deces-d-un-des-peres-de-l-independance-justin-bomboko?id=8245603
Inflation, chômage, finances publiques... Augustin Matata Ponyo, le Premier ministre congolais n'a pas de recette magique, mais la cure d'assainissement qu'il a prescrite à la RD Congo commence à porter ses fruits.
La République démocratique du Congo est un cas à part. Dans aucun autre État au monde il n'existe un fossé aussi profond entre d'extraordinaires ressources agricoles, forestières, minières et énergétiques, et une terrible misère (qui frappe 70 % de ses quelque 70 millions d'habitants). Qualifié de "scandale géologique" en raison de la richesse inexploitée de son sous-sol, ce pays est un scandale tout court. Il n'y a qu'à observer ses infrastructures en déshérence, les prédations affectant tant ses familles que le budget de l'État, ou le manque de qualification de sa main-d'oeuvre, qui annule l'avantage des faibles coûts salariaux de celle-ci.
Pourtant, plusieurs éléments indiquent que quelque chose est en train de changer. La rébellion du Mouvement du 23-Mars (M23) semble vaincue dans l'Est. La capitale, Kinshasa, est plus propre. La plupart des fonctionnaires touchent désormais la totalité de leur solde, qui leur est versée, sans retard, sur un compte bancaire. Selon les estimations, le taux d'inflation était inférieur à 1 % à la fin de 2013. Le taux de change du franc congolais par rapport au dollar est stable. L'Afrique du Sud et les bailleurs de fonds internationaux sont en passe de signer un accord pour la relance du mégaprojet hydroélectrique Inga III.
Enfin, la croissance s'accélère
Augustin Matata Ponyo Mapon, le Premier ministre, n'est pas étranger à ces améliorations. Nommé le 18 avril 2012 par un Kabila soucieux de rassurer la communauté internationale après l'élection présidentielle chaotique de novembre 2011, l'ancien ministre des Finances a surpris en se livrant à une entreprise d'assainissement des moeurs économiques congolaises, un peu comparable à celle que Mario Monti a conduite pour éviter un effondrement de l'Italie.
Ce qui compte, finalement, c'est qu'Augustin Matata Ponyo a donné une impulsion dans la bonne direction, que tous les observateurs étrangers applaudissent. Quand il est arrivé à la primature, il y a pourtant trouvé une belle pagaille : ses rendez-vous étaient monnayés par le service du protocole ; des ministres empêchaient, en arrivant en retard au Conseil, tout vrai travail gouvernemental... Menacé de mort, il a néanmoins persévéré dans la rigueur, refusant notamment le doublement de la rémunération des députés. La remise à plat du budget de l'État a permis de réduire des dépenses calamiteuses et de récupérer quelque 450 millions de dollars (environ 330 millions d'euros), désormais affectés à des investissements publics dans l'éducation, les routes et les hôpitaux. (lire la suite: http://economie.jeuneafrique.com/regions/afrique-subsaharienne/21160-matata-docteur-d-tat-eco.html)
La République démocratique du Congo est un cas à part. Dans aucun autre État au monde il n'existe un fossé aussi profond entre d'extraordinaires ressources agricoles, forestières, minières et énergétiques, et une terrible misère (qui frappe 70 % de ses quelque 70 millions d'habitants). Qualifié de "scandale géologique" en raison de la richesse inexploitée de son sous-sol, ce pays est un scandale tout court. Il n'y a qu'à observer ses infrastructures en déshérence, les prédations affectant tant ses familles que le budget de l'État, ou le manque de qualification de sa main-d'oeuvre, qui annule l'avantage des faibles coûts salariaux de celle-ci.
Pourtant, plusieurs éléments indiquent que quelque chose est en train de changer. La rébellion du Mouvement du 23-Mars (M23) semble vaincue dans l'Est. La capitale, Kinshasa, est plus propre. La plupart des fonctionnaires touchent désormais la totalité de leur solde, qui leur est versée, sans retard, sur un compte bancaire. Selon les estimations, le taux d'inflation était inférieur à 1 % à la fin de 2013. Le taux de change du franc congolais par rapport au dollar est stable. L'Afrique du Sud et les bailleurs de fonds internationaux sont en passe de signer un accord pour la relance du mégaprojet hydroélectrique Inga III.
Enfin, la croissance s'accélère
Augustin Matata Ponyo Mapon, le Premier ministre, n'est pas étranger à ces améliorations. Nommé le 18 avril 2012 par un Kabila soucieux de rassurer la communauté internationale après l'élection présidentielle chaotique de novembre 2011, l'ancien ministre des Finances a surpris en se livrant à une entreprise d'assainissement des moeurs économiques congolaises, un peu comparable à celle que Mario Monti a conduite pour éviter un effondrement de l'Italie.
Ce qui compte, finalement, c'est qu'Augustin Matata Ponyo a donné une impulsion dans la bonne direction, que tous les observateurs étrangers applaudissent. Quand il est arrivé à la primature, il y a pourtant trouvé une belle pagaille : ses rendez-vous étaient monnayés par le service du protocole ; des ministres empêchaient, en arrivant en retard au Conseil, tout vrai travail gouvernemental... Menacé de mort, il a néanmoins persévéré dans la rigueur, refusant notamment le doublement de la rémunération des députés. La remise à plat du budget de l'État a permis de réduire des dépenses calamiteuses et de récupérer quelque 450 millions de dollars (environ 330 millions d'euros), désormais affectés à des investissements publics dans l'éducation, les routes et les hôpitaux. (lire la suite: http://economie.jeuneafrique.com/regions/afrique-subsaharienne/21160-matata-docteur-d-tat-eco.html)
Accord d’aménagement d'une route Congo-Gabon
Signature d’un accord de prêt entre la BAD et le Congo pour aménager une route entre le Congo et le Gabon - Le ministre congolais des Finances et du Budget, Gilbert Ondongo et le représentant de la Banque africaine de développement (BAD) pour les deux Congo, Valentin Zongo, viennent de signer à Brazzaville un accord de prêt, en vue d’aménager la route Ndéndé-Doussala (Gabon)-Dolisie (Congo), annonce jeudi un communiqué du ministère congolais des Finances et du Budget.
Ce projet, qui est évalué à 163,58 milliards de FCFA, sera conjointement financé par la BAD à hauteur de 46,14 %, le Congo pour 71,45 milliards de FCFA et le Gabon pour 14,231 milliards de FCFA.
La première phase du projet portera sur le bitumage de 49 km de route entre Ndéndé et Doussala et de 93 km entre Dolisie et Kibangou. Elle inclut également la réhabilitation de 130 km sur la section en terre comprise entre Kibangou et Ndongo, à la frontière du Gabon. La réalisation d’aménagements connexes aux tronçons routiers principaux, ainsi que la mise en œuvre de facilitation du transport.
La seconde phase concernera le bitumage du tronçon en terre restant entre Kibangou et Ngongo, l’aménagement de la voie de contournement de la ville de Pointe-Noire et des ports secs de Dolisie et Ndéndé. La mise en œuvre de mesures de facilitation de transport centrées sur l’application effective de l’accord de transit entre les deux pays fait aussi partie des travaux à exécuter, précise le communiqué.
Pana 20/02/2014
Ce projet, qui est évalué à 163,58 milliards de FCFA, sera conjointement financé par la BAD à hauteur de 46,14 %, le Congo pour 71,45 milliards de FCFA et le Gabon pour 14,231 milliards de FCFA.
La première phase du projet portera sur le bitumage de 49 km de route entre Ndéndé et Doussala et de 93 km entre Dolisie et Kibangou. Elle inclut également la réhabilitation de 130 km sur la section en terre comprise entre Kibangou et Ndongo, à la frontière du Gabon. La réalisation d’aménagements connexes aux tronçons routiers principaux, ainsi que la mise en œuvre de facilitation du transport.
La seconde phase concernera le bitumage du tronçon en terre restant entre Kibangou et Ngongo, l’aménagement de la voie de contournement de la ville de Pointe-Noire et des ports secs de Dolisie et Ndéndé. La mise en œuvre de mesures de facilitation de transport centrées sur l’application effective de l’accord de transit entre les deux pays fait aussi partie des travaux à exécuter, précise le communiqué.
Pana 20/02/2014
Matata Ponyo : la RD Congo, pays émergent en 2030
Les inscriprions des étudiants étrangers
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A l'occasion du premier Forum économique international, qui se tient les 6 et 7 juin à Kinshasa, Augustin Matata Ponyo a programmé le redressement du pays en trois temps. Avec le soutien, prudent, de la Banque mondiale.
Du 6 au 7 juin se tient à Kinshasa le premier Forum économique international. Une initiative du gouvernement congolais et de la Banque mondiale pour faire le point chaque année de l'évolution de la situation économique et sociale dans le pays. D'autant plus que la RD Congo ambitionne de devenir un « pays émergent » d'ici 2030, selon son Premier ministre, Augustin Matata Ponyo. « Notre espoir est de voir la République démocratique du Congo devenir l’épicentre de la croissance, l’eldorado des investisseurs, le modèle de prospérité que rêvent les Congolaises et les Congolais depuis longtemps ». D'un air confiant, Augustin Matata Ponyo a annoncé, le 6 juin, les « échéances ambitieuses » que son gouvernement s'est fixées pour le développement de la RDC. Un redressement du « géant » Congo programmé en trois temps : le pays atteint une « croissance à deux chiffres » en 2015, et « intègre rapidement le club des pays à revenu intermédiaire » ; en 2030, il devient « pays émergent » et en 2050, « [il] figure parmi les puissances mondiales avec un niveau élevé de développement ». La déclaration du premier ministre congolais a été faite devant plusieurs experts nationaux et internationaux des questions de développement lors de l'ouverture du premier Forum économique international de Kinshasa. En proie à un cycle interminable de conflits armés dans sa partie orientale, ce grand pays situé au cœur de l'Afrique tente pourtant de se redresser sur le plan macroéconomique. En douze ans, la RD Congo est passée d'un taux d'inflation à 511, 2% en 2000 à « 0,3% au terme de cinq premiers mois de 2013 ». « Et si la tendance se maintient, la RDC enregistrera le plus bas niveau d’inflation jamais atteint inférieur à 1%, détrônant ainsi l’année 1970 avec 1,7% d’inflation annuelle », s'enflamme Matata Ponyo. « Le budget annuel [du pays] a été multiplié par 20 (…). Des investissements directs étrangers par 167 et se situent à 15 milliards de dollars américains », contre 80,3 millions en 2001, renchérit le chef du gouvernement congolais. Sur quel bouton appuyer ? Suffisant pour rêver d'un Congo émergent d'ici 2030 ? Difficile à dire. En tout cas, c'est une « ambition à la portée de la RD Congo », soutient, pour sa part, Eustache Ouayoro, le directeur des opérations de la Banque mondiale dans le pays. « Il faudra maintenir une croissance économique forte à deux chiffres sur au moins deux décennies, qui crée des emplois et réduit la pauvreté d'une manière significative », renchérit-il. Même si « beaucoup reste à faire » en RDC, Eustache Ouayoro reconnaît néanmoins les « efforts » engagés jusqu'ici par les dirigeants du pays pour « relancer l'économie et améliorer les conditions de vie de la population ». Et la Banque mondiale compte bien continuer à accompagner la RDC dans cette voie. « Notre ambition a toujours été de participer au réveil du géant et d'aider la RDC à occuper la place qu'elle mérite d'occuper en Afrique et dans le monde ». Dans cette optique, parallèlement à l'aide d'un milliard de dollars aux pays de la région des grands lacs, annoncée il y a quelques jours par le président de la Banque mondiale, Jim Yong Kim, l'institution financière internationale a récemment « approuvé la nouvelle stratégie d'assistance en faveur de la RDC pour un montant de 1, 250 milliards de dollars pour le financement des projets propres » du pays. Une enveloppe qui apporte un coup de pouce aux efforts du gouvernement congolais. De quoi donner des ailes à son premier ministre qui projette désormais de passer à la vitesse supérieure. « Sur quel bouton faudrait-il appuyer pour que la croissance à deux chiffres soit au rendez-vous en 2014 et non en 2015 comme le prédit le Fonds monétaire international (FMI) ? », a lancé Matata Ponyo aux spécialistes réunis au Forum économique international de Kinshasa. La journée du 7 juin sera consacré aux ressources naturelles, dont la gestion est dénoncée régulièrement par les bailleurs. Dans un rapport récent, l'Africa Progress Panel a ainsi estimé que "entre 2010 et 2012, la RD Congo a perdu au moins 1,36 milliard de dollars de recettes provenant de la sous-évaluation des actifs miniers vendus à des sociétés offshore", dont plusieurs seraient liées à Dan Gertler, un proche du président congolais Joseph Kabila. Il y a quelques mois, le FMI a décidé de laisser échoir le programme triennal de prêts signé avec le pays d'Afrique centrale. Sur ce programme de plus de 500 millions de dollars, 225 millions restaient encore à verser. Pour justifier sa décision, le FMI aurait avancé que les éléments divulgués par la Gécamines (détenue par l'Etat) concernant la cession de 25% de ses parts dans La Congolaise de Mines et de Développement (Comide) étaient insuffisants. La diaspora triomphe
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Acquisition de la
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Conférence
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Matata Ponyo salue la
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Nelson Mandela
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Le Conseil de sécurité des Nations unies a adopté jeudi une résolution qui
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